Le bisphénol S préoccupe les chercheurs de Toxalim
Une étude menée par par l’équipe Gestation et perturbateurs endocriniens de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse et du laboratoire Toxalim (ENVT/Inra/Toulouse INP-PURPAN/UT3 Paul Sabatier), en collaboration avec les Universités de Montréal et de Londres a montré chez l’animal que le bisphénol S (BPS) persiste plus longtemps dans l’organisme et à des concentrations beaucoup plus élevées que le bisphénol A (BPA).